mardi 30 novembre 2021

#ChallengeAZ - Z comme Zoom sur mes ancêtres

Évidemment, si je me suis un jour intéressée à ces tables, c’est parce que quelques uns de mes ancêtres sont originaires de cette commune.

Quand j’avais débuté mes recherches, ces tables m’avait beaucoup aidée pour reconstituer la famille avant de compulser les registres paroissiaux.

Je les ai retrouvé sur 5 générations à partir de François DUCLOS né en 1727.



J’avais parlé du grand-père de François, Michel DUCLOS à l’occasion d’un RDVAncestral . 


Un mystère demeure, je n’ai pas retrouvé dans les tables (ni dans les registres d’ailleurs) la naissance de Anne VOISIN, épouse de Michel DUCLOS et grand-mère paternelle de François.

J‘ai pourtant trouvé dans les tables les naissances de 6 de ses frères et sœurs avant et après sa naissance. Il me manque aussi la naissance d’une de ses sœurs dont j’ai bien trouvé le mariage.


Les 2 sœurs sont probablement nées dans une autre commune : mais laquelle et pourquoi ?


Il manque donc les lieux de naissance de Anne vers 1666 et celle de Marie vers 1672.

Je pense (j’espère) que la clé se trouve dans des registres notariés que je pourrais consulter un jour aux archives départementales du Calvados.

lundi 29 novembre 2021

#ChallengeAZ - Y comme Y avait pas de temps à perdre !!

Au XVIIIe siècle comme de tout temps, il arrivait que les enfants soient conçus en dehors d’un mariage. (voir l’article de la lettre B).

Si certains gardaient un statut de « bâtards » tout au long de leur vie, d’autres étaient légitimés par le mariage de leurs parents.

Et parfois, le mariage intervenait avant la naissance afin de rendre cette naissance légitime.

Pour Saint-Omer, 17 enfants ont été conçus avant le mariage de leurs parents.

Pour 6 d’entre eux, le mariage des parents est intervenu pendant le 1er trimestre de grossesse, le minium étant 2 mois.

Pour 7 autres, les mères éteint entre 3 et 6 mois de grossesse

Pour les 4 derniers, la grossesse était bien plus avancée et il n’y avait plus de temps à perdre !!

Ainsi, Anne TAHÈRE est née le 24 février 1675 alors que le mariage de ses parents Vincent TAHÈRE et Marguerite VOISIN a été célébré le 3 février, soit 21 jours avant.

Pour Jean VOISIN et Jeanne VOISIN, le timing était un peu plus serré puisque marié le 15 mai 1691, leur fils Michel VOISIN est né le lendemain, le 16 mai.

Quant à Anne AUMONT, elle est née le 14 mai 1693 , le jour même du mariage de ses parents Pierre AUMONT et Louise ONFRAY !



Et enfin, Nicolas AUMONT lui n’a pas attendu, il est né le 9 juin et ses parents Jean AUMONT et Marie Anne LEBARON se sont mariés 2 jours plus tard, le 11 juin 1733.


samedi 27 novembre 2021

#ChallengeAZ - X pour les « sans prénom »

Quand les enfants décédaient avant le baptême, il ne recevaient pas de prénom.

Par cet article, je vais tenter de sortir de l’oubli ces enfants sans prénom.

Le 25 mai 1686, né et décède une fille pour Louis HUBERT et Claude VOISIN


Une fille pour Thomas HAYE et Jacqueline HUBERT née et décédée le 2 juillet 1690


Une fille pour François FORTIN et Anne AUMONT née et décédée le 24 septembre 1691


Une fille pour Adam HUBERT et Marie FORTIN née et décédée le 27 septembre 1693


Deux enfants jumeaux pour Jean DUVAL et Anne GRESILLE nés et décédés le 19 janvier 1723


Un fils pour Jean BRUNET et Magdeleine FORTIN né et décédé le 7 novembre 1730


Un fils pour François HEBERT et Marie Magdeleine DUFAY né et décédé le 8 décembre 1732


Un fils pour Nicolas VOISIN et Anne LEPETIT né et décédé le 30 septembre 1735


Parfois, l’enfant avait eu le temps d’être ondoyé tel que le fils de René BELLET et Marie LERAN


Parfois, le manque de prénom semble dû à l’ignorance du rédacteur :

Une fille LHOMME née le 2 aout 1675


Une fille BIN née le 12 juillet 1676


Un fils BRUNET né le 24 juillet 1716

vendredi 26 novembre 2021

#ChallengeAZ - W comme Who are you ?

Mais qui est donc saint Omer qui donne son nom à la paroisse ?

Audomar, connu plus tard sous le nom de saint Omer serait né aux environs de l’an 600 à Orval près de Coutances, dans la Manche.

Il est nommé évêque par le roi Dagobert 1er. D’abord de Noyon-Tournai, puis de Thérouanne. Il fonde un monastère près de Thérouanne, c’est là que la ville de Saint-Omer (Pas-de-Calais) va s’édifier.

Il meurt aveugle le 1er novembre 670.

Il est invoqué pour les troubles de la vue. À Orval où il est né, il est invoqué pour remédier aux troubles intestinaux.

Quelques localités en France portent son nom, dont Saint-Omer dans le Calvados qui nous intéresse au cours de ce challenge.

Dans tous le registre, j’ai trouvé un seul enfant baptisé Omer. Il s’agit de Omer HUBERT fils de Daniel HUBERT dit Lépine et d’Anne FOUQUES né le 1er janvier 1705.



Sources :


jeudi 25 novembre 2021

#ChallengeAZ - V comme Voleurs ?

Une galère est un type de navire à rames et à voiles qui naviguait essentiellement en mer Méditerranée. Au Moyen-Âge, les rameurs de galère étaient volontaires. Au milieu du XVe siècle, avec l’essor des échanges commerciaux en Méditerranée, le nombre de galères augmente en même temps que leur taille, ce qui impliquent plus de rameurs et bientôt la pénurie.

C’est à partir de ce moment qu’on commence à prélever des condamnés dans les prisons pour servir de rameurs et bientôt cette ponction se transforme en peine de justice et dès les XVIe siècle, on condamne directement aux galères.

Pour la France, les galères avaient pour quartier général Marseille où se trouvait un arsenal des galères et où résidait l'intendant des galères. Elles allaient en même temps à la voile et à la rame. Les rames, très longues (douze mètres), étaient manœuvrées par cinq rameurs. Il y avait 51 bancs de rame sur une galère « ordinaire » (26 à droite et 25 à senestre), soit 255 rameurs.

Le corps des galères disparaît en France en 1748.

La condamnation aux galères est à la fois une réponse face à la déviance, mais aussi une manière, pour le roi Louis XIV, de marquer sa puissance sur l'ensemble de ses sujets, y compris le bas peuple et les opposants religieux (huguenots) au roi.

Deux paroissiens de Saint-Omer ont apparemment été galériens et sont décédés à Marseille.


Michel DUVAL est le fils de Jean et de Gabrielle DUCLOS, il est né le 24 juillet 1667.

Il se marie le 24 mai 1690 avec Magdeleine BOISSAYE avec laquelle il aura 6 enfants entre 1691 et 1706.


Il meurt à l'hôpital de Marseille le 1er mai 1717 « étant arrivé à Marseille sur la galère le 28 juillet 1711 ».


Pierre DUVAL est un des fils du précédent. Il naît le 6 novembre 1700.
Il épouse Marguerite ROGUE en 1724, 3 enfants naissent à Saint-Omer.

Il meurt à l’hôpital de Marseille le 28 novembre 1741 après être arrivé « en la galère » le 2 octobre précédent.



Qu’est-ce qui a valu à Michel et Pierre de se retrouver sur les galères ?

Avaient-ils commis des vols ? Tel Jean Valjean dans Les Misérables de Victor HUGO.

Ou bien étaient-ils protestants ? Une importante communauté protestante vivait dans la région….


J’ai tenté de retrouver leurs actes de sépultures dans les archives de Marseille mais ignorant complètement dans quel quartier ils sont décédés, j’ai été découragée de consulter et chercher parmi la cinquantaine de registres existants pour chaque année…

Peut-être l’hôpital mentionné est-il l’hôpital royal des forçats ? 

Si quelqu’un a une idée pour trouver plus d’informations sur ces 2 hommes, je prends !


Sources :




mercredi 24 novembre 2021

#ChallengeAZ - U comme Unions

Il est courant d’entendre « autrefois, on se mariait jeune ! »

Mais qu’en est-il vraiment ?

Voyons l’exemple de Saint-Omer.






La plus jeune mariée du fichier est Magdeleine GUÉRIN, fille de Guillaume GUÉRIN et Jacqueline GRAFFARD. Née le 19 janvier 1716, elle se marie le 21 février 1732. Elle a donc 16 ans, 1 mois et 2 jours. Son époux est Thomas BRUNET qui a 27 ans.

3 autres jeunes filles se marient l’année de leurs 16 ans :

- Anne LEPETIT se marie le 9 mai 1726 âgée de 16 ans 3 mois et 15 jours. Son époux Nicolas VOISIN a 22 ans.

- Jacqueline GRAFFARD épouse Guillaume GUÉRIN, 26 ans, le 11 février 1709. Elle a alors 16 ans et 10 mois.

- Geneviève HÉBERT a 16 ans, 10 mois et 12 jours lorsque qu’elle épouse Jean DUCLOS, 22 ans, le 17 octobre 1705.

Du côté des hommes, le plus jeune marié est Guillaume VOISIN, il est le fils posthume de Pierre VOISIN et de Marie LIÉGARD.



Même si on ne connaît pas sa date de naissance exacte, en se basant sur la date de décès de son père, il a moins de 15 ans 10 mois et 1 jour lorsqu’il se marie le 13 juin 1697 avec Magdeleine FORTIN, âgée de 20 ans, 6 mois et 23 jours.

Après lui avoir donné 12 enfants, sa femme décède à 42 ans en 1719, il se remarie à 39 ans en 1720 avec Marguerite LEMONNIER âgée de 56 ans. Lors de ce second mariage, il n’est pas indiqué que l’épouse soit veuve. Avec ses 56 ans, Marguerite serait donc la mariée la plus âgée à sa première union mais aussi toute union confondue.


Le marié le plus âgé à sa première union est Étienne GOUBERT, dit La Croix. Il a 47 ans lorsqu’il épouse Adrienne TRUFFAUT le 7 février 1709. On ignore l’âge de cette dernière mais elle est veuve de Pierre VOISIN qu’elle avait épousé en 1697. Ils auront un enfant en 1711 et Adrienne décédera en 1716.


Si on regarde toute union confondue, le plus vieux marié est Michel FORTIN, dit Harlequin, qui a 60 ans lors de son deuxième mariage avec Magdeleine GUÉRIN âgée de 29 ans le 29 mai 1749. À sa première union, il avait déjà 43 ans.

mardi 23 novembre 2021

#ChallengeAZ - T comme Terrain

L’église de Saint-Omer possédait quelques terres qu’elle mettait en affermage.

Le 26 juin 1660, une pièce de terre est affermée pour 3 ans.

La première année à Paquet VOISIN et les 2 suivantes à René HUBERT, dit Lépine.

Paquet VOISIN devra fournir en échange à l’église cinq boisseaux de seigle tandis que René HUBERT devra fournir chaque année cinq boisseaux et demi d’avoine.

La pièce de terre a une surface d’au moins 3 vergées.



Un boisseau correspond à un volume d’un peu moins de 13 litres, soit environ 65 litres pour 5 boisseaux et environ 71 litres pour 5 boisseaux et demi.

Une vergées (ou verge terrain mesuré à la verge soit 1/4 d'arpent) correspond à 1276m², la terre en question mesurait donc un peu plus de 3 828 m².

Il n’est pas aisé de trouver les rendements en céréales de l’époque, Élodie (@lodeetwit) a trouvé ces chiffres pour la Prusse et le Brunswick au XVIIe siècle (http://medieval.mrugala.net/Paysan/Agriculture.txt)

seigle : 7,6 à 8,2 quintaux/ha
avoine : 3,7 à 5 quintaux/ha

Les rendements pour chez nous ne devaient pas être beaucoup différents.

On peut estimer que la pièce de terre pouvait fournir environ 3 quintaux de seigle et 1,5 quintal d’avoine.

En prenant pour hypothèse un poids de 700 kg/mètre cube pour le seigle et 400kg/mètre cube pour l’avoine, les quantités à fournir par les fermiers représentaient environ 15 % de la récolte pour le seigle et 20 % pour l’avoine.

J’ai bien entendu essayé de trouver où se situait cette pièce de terre. Le plus vieux cadastre en ligne trouvé sur le site des archives du Calvados date de 1828.

La solution la plus approchante que j’ai trouvée se situe Sections C2 du Mesnil avec une pièce nommée « Le Brier » au sud de laquelle passe le « chemin vicinal de Saint Remy à Saint Clair » , chemin qui passe par La Mousse.


D’après le cadastre actuel, l’ensemble des parcelles nommées « Le Brier » mesure presque 28 000 m². Je suppose que la pièce de terre en question devait se trouver au sud, le long du chemin.



En l’absence de documents d’époque, tout ceci ne reste que supposition !

lundi 22 novembre 2021

#ChallengeAZ - S comme Soldats

En 1688, le marquis de Louvois, secrétaire d’État à la guerre, initie une levée de miliciens provinciaux afin de seconder les troupes pendant la guerre de la Ligue d'Augsbourg (1688-1697).

Renvoyée chez elle en 1697, la milice est recréée de 1701 à 1714 pendant la guerre de Succession d’Espagne.

En 1726, le marquis de Breteuil fait de la milice provinciale une troupe permanente dont l'objectif est d'« avoir toujours sur pied dans l'intérieur du royaume un corps de milice qui, s'exerçant pendant la paix au maniement des armes, sans déranger les travaux qu'exige l'agriculture, ni sortir des provinces, pût être prêt à marcher sur les frontières pour en augmenter les forces dans les besoins les plus pressants de l'État. » C'est sous cette forme qu'elles servirent pendant les guerres de Succession de Pologne (1733-1738), de Succession d'Autriche (1741-1748) et de Sept Ans (1756-1763).

6 hommes de Saint-Omer, nés entre 1715 et 1725, sont décédés soldats entre 1743 et 1747.

Il semble donc que ce soit pendant la guerre de Succession d’Autriche.

1) Adam PIEL est né le 26 août 1715 de Philippe et Catherine BOISSAYE.
Il est tué à l’armée de 12 août 1744 « au combat de la ville de Saverne dans le Basse Alsace », il avait un peu moins de 29 ans.
En 1744, pendant la guerre de Succession d'Autriche, Saverne subit un moment d'occupation par les pandoures du baron de Trenck.(source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Saverne#Temps_modernes).


2) François FORTIN naît le 17 mars 1720, il est le fils de Michel FORTIN et de Marie PIEN. Il meurt à 22 ans « à la guerre » en 1743


3) François BRUNET, fils de Jean et Magdeleine FORTIN, voit le jour le 18 août 1721. Il part pour la milice le 9 février 1743 et décède à Metz 8 mois plus tard, le 9 octobre 1743. Il avait 22 ans.



4) Jean HUBERT est né le 29 avril 1724, Il est le fils de Pierre et Françoise FORTIN. Il décède « à l’armée » en 1747.


5) Jean GUÉRIN vient au monde le jour de Noël 1724, ses parents sont Jacques GUÉRIN et Marie LEFEBVRE. Il meurt le 3 octobre 1746 à l’hôpital militaire de Charleroi où il était en garnison.



6) Fils de Guillaume GUÉRIN et de Marguerite ISABEL, Jacques GUÉRIN est né le 22 janvier 1725. Il décède âgé de seulement 20 ans à l’hôpital de la ville de Givet (Ardennes).

samedi 20 novembre 2021

#ChallengeAZ - R comme renvois

Tout au long du registre, l’abbé Gost fait des renvois qui permettent de lier de façon certaines certains individus. Cela facilite drôlement les choses au vu du nombre d’homonymes !

Très souvent, les annotations dans la marge renvoient vers un autre évènement : le mariage des parents en cas de baptême, le baptême en cas de mariage, etc.



Quand l’abbé veut faire mention d’un évènement qui se rapporte à une personne citée, il utilise fréquemment le dièse « # » pour préciser de quelle personne il s’agit.


Parfois, il a beaucoup à préciser :


Et quand il veut référence à plusieurs personne, il emploie plusieurs signes :




Il arrive aussi qu’il nous donne la généalogie des mariés !




ou celle de l’enfant baptisé



ou bien encore, il précise le devenir de la famille :




Tous ces renvois sont autant de détails précieux pour les généalogistes !

vendredi 19 novembre 2021

#ChallengeAZ - Q comme Que s’est-il passé ?

Pierre DUCLOS, dit Le Galant, est originaire de la paroisse d’Esson, paroisse voisine de Saint-Omer. Il est le fils de François DUCLOS et de Marie LEGLU.



Le 23 octobre 1738, il épouse Elizabeth LECOINTE, fille de Charles LECOINTE dit Champagne et d’Anne HERAULT, originaires de la Pommeraye, autre paroisse voisine mais présentement fermiers à Saint-Omer.


Je n’ai trouvé aucun enfant issu de cette union à Saint-Omer dans les années qui suivent.

Mais c’est bien à Saint-Omer que je retrouve Pierre DUCLOS, en 1743, à l’occasion de son décès.

Il décède le 2 mai 1743 : il a été maltraité dans une assemblée le 1er mai et a succombé à ses blessures le lendemain.


Son acte d’inhumation nous apprend juste qu’il a reçu « plusieurs coups de bâtons » et qu’il était fermier pour le compte de l’Abbaye du Val.



Mais qu’a-t-il bien pu se passer dans cette assemblée pour qu’il soit ainsi lynché ?

Et qu’était-ce donc que cette assemblée de « Saint Marcouph » à l’Abbaye du Val ?

Des questions qui demeurent sans réponses...

jeudi 18 novembre 2021

#ChallengeAZ - P comme Parenté

Comme on l’a vu dans l’article H comme Homonymes, de nombreux noms sont communs à différentes familles.

Heureusement, assez fréquemment, l’abbé GOST précise les parentés sur ces relevés.

Voici deux exemples.

Le 28 novembre 1748, Jacques CHAUVEL épouse Anne HUGOT. On apprend déjà qu’il est fermier dans la paroisse depuis 2 mois. Et dans la note, l’abbé précise la parenté du père du marié et nous donne une liste de la fratrie de sa grand-mère et nous indique où, dans le registre, aller voir pour en savoir plus.


En associant ces informations à d’autres présentes dans le registre, nous pouvons reconstituer la fratrie de Marguerite VOISIN.

Les dates indiquées sont :
- pour Jeanne, sa naissance
- pour Catherine, la naissance d’un de ses enfants
- pour Charlotte, son mariage
- pour Jacques, sa naissance



Quelques mois plus tard, le 18 janvier 1749, Jean GROSOS épouse Marguerite CORNET.

Dans la note, l’abbé relie l’épouse via sa mère à Jacques CHAUVEL cité ci-dessus et renvoie à la note de son mariage.


Il mentionne un autre acte aussi sur la même page (« ibidem »), la naissance de Michel Henry François CHAUVEL, le 4 décembre 1748, « fils de Louis fils de feu Jean dit La croix » qui nous confirme que Jacques et Louis sont frères.


Grâce à ces indications et aux autres actes, nous pouvons construire l’arbre de descendance de Michel CHAUVEL et Marguerite VOISIN


------------------------------

Le 27 octobre 1704 est né Thomas LEPETIT. La note nous rappelle les parents du père et renvoie vers d’autres actes.



L’acte du 13 décembre 1700 concerne la naissance de Marie FORTIN. L’abbé nous apprend que la mère de l’enfant est la sœur du père de Thomas. Il mentionne aussi de voir la parenté, comme pour Thomas, le 4 septembre 1687. L’acte de la page 56 est celui de Thomas.


Enfin, l’acte du 4 septembre 1687 concerne la naissance d’Adrienne FORTIN qui épousera en 1707 un autre LEPETIT, frère des parents des précédents.


Tous ces éléments assemblés avec d’autres actes du registre permettent de reconstituer la descendance de Abraham LEPETIT.



Ce ne sont que 2 exemples parmi tant d’autres qui émaillent ce registre.