samedi 13 janvier 2018

Je ne remonte plus (pour l’instant), j’étoffe !

Quand j’ai débuté la généalogie, je voulais remonter le plus loin (et le plus vite) possible.

Je ne m’intéressais qu’à mes ancêtres directs, je ne m’intéressais pas aux frères et sœurs, je ne notais même pas les témoins des différents actes !

Je trouvais un ancêtre, ses parents, leurs parents et ainsi de suite…

Et puis un jour que j’étais bloquée sur une branche, j’ai regardé l’acte de naissance d’une sœur d’un de mes ancêtres et grâce aux témoins présents, j’ai pu découvrir la commune d’origine de sa mère et continuer à remonter.

J’ai alors commencé à reconstituer les fratries, je relevais les naissances des frères et sœurs que je trouvais mais n’allais pas plus loin.

Et puis, au fur et à mesure, j’ai commencé à me questionner sur comment les familles étaient constituées, le nombre d’enfants qui les composaient, si ceux-ci se mariaient loin ou non, sur les alliances entre les différentes familles, les cousinages…

Et depuis quelques temps, j’ai commencé un travail de vérification que j’évoque dans ce billet, et j’en profite pour étoffer ma généalogie.

Dans la mesure du possible, j’essaie de retrouver l’ensemble de la fratrie, les mariages des frères et sœurs ainsi que les enfants de ses derniers. Ce qui fait que pour chacun de mes ancêtres, j’essaie de trouver l’ensemble des enfants et leur éventuel mariage et l’ensemble des petits enfants.

Ça me prend beaucoup de temps, j’essaie de croiser les sources (registres d’état civil, recensements…) pour être le plus exhaustif possible.

Je me sers des sites de partage de généalogie (Geneanet, Filae) pour trouver des pistes.

Et pour le coup, je dois avouer que l’indexation des registres effectuée par Filae, même si c’est loin d’être parfait, m’aide beaucoup.

Mais je trouve ce travail de recherche extrêmement passionnant !

Et je trouve des choses parfois surprenantes : par exemple, j’ai découvert qu’un frère d’un ancêtre de maman avait épousé la nièce d’un ancêtre de papa !

Mais du coup, il y a un moment que je ne suis pas remontée dans le temps. Du côté de mon mari, je n’ai dépassé la révolution sur aucune des branches.


Mais comme je le disais dans un précédent billet, les ancêtres m’attendent tranquillement, j’ai tout le temps de les trouver un jour !

5 commentaires:

  1. Bonjour Valérie,
    Eh oui ! Nous sommes dans le mouvement "tout , tout de suite".
    Mais je vois que vous avez devinez que ce n'est pas si simple que cela.
    Et la généalogie se révèle très chronophage...mais quel bonheur !
    Bonne chance dans la suite de vos recherches,
    @Girondegenea (Murielle)

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  2. Étoffer les fratries cela a son charme, tenter de débusquer tous les petits-enfants de certains couples aussi...

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  3. Et puis, s'intéresser aux fratries, c'est découvrir les liens qui existaient ou pas, c'est lever un coin du voile sur leur façon de vivre... c'est aller bien au delà des lieux et des dates... c'est passionnant ! Un peu de chance, beaucoup de persévérance, je vous souhaite beaucoup de bonheur pour vos recherches.

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  4. Admirable travail, félicitations. Je travaille actuellement sur la généalogie Chevallier en partant de Vimoutiers. Puis-je emprunter certaines de vos données en vous citant comme source ? Ensuite je ferai mes propres vérifications. Ma généalogie principale est sur ma famille Doyennel. (thezard).
    Pour ma par, j'ai aussi un site http://doyennel.com
    Claude Doyennel

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    1. Bonjour. Merci. Pas de souci pour emprunter certaines de mes données.
      Je vais aller visiter votre site.

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